Maman (2014) Critique du film

Cinéaste canadien Xavier Dolan eune scores avec cette histoire torride d'un différend mère-vs-fils

Le film canadien décrit comme spectacle d'horreur émotionnelle. Il vous fera secouer, ça ce est sacrément sûr. Scénariste et réalisateur Xavier Dolan, 25, a fait ses débuts il ya six ans Je ai tué ma mère. Problèmes œdipiens sont toujours à l'avant dans le 15e de maman omnisexuel apparemment bipolaire Steve (Olivier Antoine Pilon) plus de deux poignées pour sa mère, veuve, Diana "Le" Despres (Anne Dorval).

Une nouvelle législation québécoise serait un parent d'institutionnaliser un enfant sans procès. Il peines penser. Il est 50-ish, mais les pantalons serrés et les talons gratte-ciel indique un esprit charnel. Le problème est que blonds, yeux bleus Steve est un charmeur quand il n'a pas mis le feu à des choses ou menace préjudice physique. Besoin d'aide pour mourir à ses voisins (Suzanne Clément), un enseignant frêle sans capacité perçue, comètes, de garder Steve dans une maison et l'école boîte à chaussures.

Voici la chose à propos de Maman: Même si Dolan libertinage et travaille ses sujets dans la terre, ce est un feu d'artifice d'un homme. Ses images sautent hors de l'écran et le garder dans votre tête. Pilon continuer à venir à vous. Mais ce est Dorval dont les performances de la tour au-delà des limites du langage et de la culture. Surtout à Dorval. Il ne ose pas.

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